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Folklore du corps; NOURRIR UN REFROIDISSEMENT, AFFAMER UNE FI7VRE!

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Ce qu'il faudrait, c'est nourrir les deux, car toute infection consomme de l'énergie et la nourriture, justement, en fournit, les origines du dicton tiennent peut-etre au fait que les fiévreux n'ont pas envie de manger, lorsqu'ils ont mal à la tète, ou lorsqu'ils sont nauséeux, surtout.
En outre, lors d'un gros rhume, l'odorat est généralement atteint, ce qui tue le gout, le malade rejette tous ces mets qui, pour lui, n'ont aucune saveur.
Exception faite d'un bon bouillon de poulet fumant.
Si ce dernier semble appétissant, c'est que sa vapeur ouvre les voies aériennes obstruées, la recherche interminable de remèdes contre les désagréments des rhumes, fièvres, maux de gorge, et toux, a produit quelques breuvages assez bizarres, comme, par exemple, des escargots bouillis, dans de la tisane d'orge.
Tandis que la médecine populaire russe préconisait d'enduire la poitrine de graisse de porc, les villageois de l'ancienne Nouvelle- Angleterre, nouaient autour de leur cou, la peau d'un chat noir pour guérir les maux de gorge.
De nos jours, on peut trouver quelques médicaments plus efficaces dans le commerce pour soulager le rhume.
Traditionnellement, l'enrhumé est empaqueté dans de grosses robes de chambre, il trempe les pieds dans une bassine, d'eau bouillante, et sirote n'importe quelle mixture à la mode, aucun remède, cependant, ne peut abréger la durée de cet état désagréable!           
Wolf!

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