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L'arthrose n'est pas une maladie du troisième âge

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L’arthrose n’est pas, comme on le croit, une maladie du troisième âge. Même si une personne sur deux de plus 65 est atteinte, dans les consultations de rhumatologie, la moyenne d’âge est inférieure à quarante ans. Elle n’est pas non plus inéluctable car, si le malade ne la néglige pas, elle peut être diagnostiquée facilement et on dispose aujourd’hui d’une foule de techniques permettant d’éviter qu’elle ne provoque trop de dégâts. Pourtant, près de 5 millions de Français souffrent d'arthrose et environ 200 000 prothèses sont posées chaque année en France. Malgré tout cela l’arthrose n’est pas une fatalité et quelques mesures simples peuvent permettre d’en limiter la survenue.

L’arthrose est une usure plus ou moins prématurée des articulations. Tout commence par une atteinte du cartilage qui perd sa souplesse et son caractère lisse.

Les surfaces articulaires deviennent rugueuses et râpeuses et de ce fait, s’usent beaucoup plus rapidement. Le tissu osseux situé sous le cartilage est alors moins bien protégé des chocs et des pressions exercées sur l’articulation.

L’os va se modifier et devenir plus épais ou au contraire se décalcifier. Des kystes vont se développer en son sein et des proliférations osseuses (ostéophytes ou becs de perroquet) pourront se développer.

En réaction à tous ces phénomènes, une inflammation peut apparaître, entraînant une hydrarthrose (eau dans l’articulation), un gonflement, une rougeur et une douleur de l’articulation. Cette inflammation peut générer des Interleukines 1 (IL1), substances qui sont les agents principaux de la formation de l’arthrose. Ainsi, l’arthrose, après une période « silencieuse », évolue, de plus en plus rapidement vers l’usure complète de l’articulation qui peut aller jusqu’à sa quasi-disparition entraînant des douleurs de plus en plus intenses.

Une simple radiographie de l’articulation permettra d’établir le diagnostic dans la majorité des cas. Les prises de sang quant à elles, n’apportent pas grand chose.
Les neuf formes d'arthrose les plus fréquentes

L’arthrose des mâchoires : elle est souvent la conséquence d’un problème de dents ou de souffrance des cervicales.
L’arthrose cervicale : souvent secondaire à des chocs ou des
traumatismes (coup du lapin), elle peut dégénérer en névralgies irradiant dans la tête ou le bras.
L’arthrose dorsale : elle est souvent consécutive à une ostéoporose, à des traumatismes ou à un dos voûté ou encore
scoliotique. Les douleurs peuvent être intenses et rebelles.
L’arthrose lombaire : très fréquente, elle est responsable de douleurs et de raideur persistante. Elle peut parfois dégénérer en névralgie ou en sciatique.
L’arthrose de l’épaule : de plus en plus fréquente, elle est secondaire à des traumatismes ou un usage intensif de l’articulation.
L’arthrose du poignet : rare, elle se manifeste par des poussées congestives et une impotence fonctionnelle progressive.
L’arthrose de la main : la base du pouce est souvent atteinte en premier. Elle évolue par poussées atteignant les autres doigts et entraînant des déformations.
L’arthrose de la hanche : elle limite les mouvements et induit une claudication douloureuse.
L’arthrose du genou : elle provoque une douleur permanente, majorée par le mouvement.

Les causes de l’arthrose sont nombreuses

Il existe des prédispositions héréditaires. Les facteurs climatiques ont également été évoqués, en particulier le froid et l’humidité. D’autres causes interviennent également comme la ménopause, des rhumatismes et des maladies osseuses telle que la maladie de Paget.

Cependant, il y a trois éléments qui dominent les causes, ce sont :

L’activité physique intense et répétée surtout si elle est effectuée dans de mauvaises positions, le port de charges lourdes, une surcharge pondérale, un sport excessif (ou extrême) induiront des contraintes importantes sur certaines articulations. Les vertèbres lombaires, les hanches et les genoux sont les articulations les plus fréquemment touchées. Mais selon les gestes répétés, d’autres régions peuvent être touchées : les vertèbres cervicales, les épaules, les mains…

A ces contraintes excessives s’ajoutent les mauvaises statiques (positionnements) du squelette. Elles peuvent être héréditaires comme une jambe plus courte ou un pied plat qui va induire une bascule du bassin et ensuite une scoliose de la colonne vertébrale. Mais elles peuvent aussi survenir à la suite d’un traumatisme comme une fracture mal repositionnée, une entorse mal soignée, une cicatrice, un coup du lapin, une amputation… Ainsi, le poids du corps et des charges portées ne sera pas bien réparti sur les différentes articulations. Il s’exercera sur des zones restreintes ce qui induira leur usure prématurée. C’est le cas des jambes arquées, où le poids du corps portera essentiellement sur la partie interne des genoux, alors que la partie externe sera totalement épargnée.

Les toxines sont l’autre cause importante de l’arthrose. Elles proviennent d’une mauvaise alimentation : aliments pollués (pesticides, nitrates), fritures, sucreries, laitages bovins industriels, graisses animales, alimentation toute préparée… L’entrée de ces toxines sera facilitée en cas d’intestin irritable. Elles passeront facilement dans le sang. Et elles seront alors attirées dans les endroits où il y a une inflammation, car celle-ci induit une accumulation de sang. Or justement les articulations irritées à la suite de surcharges de travail (comme vue précédemment) sont très enflammées. Les toxines se fixent alors sur l’articulation entraînant la dégradation des cartilages.
La kiné est indispensable

Aucun traitement ne sera efficace si la personne ne modère pas ses activités physiques, si elle n’évite pas le port de charges lourdes, si elle ne perd pas son surpoids et si elle ne se repose pas un minimum de temps dans la journée afin de permettre à ses articulations de se régénérer… C’est fondamental. En revanche, à côté de ces périodes de repos et de récupération, il faudra aussi effectuer une activité physique douce de type étirements et assouplissements plutôt que musculation.

Ensuite une étude de la statique (positionnement) de l’ensemble du squelette devra impérativement être effectuée. Des séances ostéopathiques sont souvent nécessaires afin de remédier à certaines déformations, mal-positions ou anomalies d’une région du squelette pouvant être à l’origine du mauvais placement de l’articulation arthrosique. Ces séances seront suivies, là encore, par des séances de kinésithérapie, voire éventuellement de port de semelles orthopédiques ou de talonnettes, si besoin. Toutes ces mesures visent à soulager la pression sur l’articulation en souffrance. Ce point est absolument fondamental pour éviter la progression de l’arthrose.

On le voit, on ne peut envisager de traitement de l’arthrose sans avoir recours aux services d’un kinésithérapeute. Celui-ci expliquera les mouvements à faire et ceux à éviter dans la vie de tous les jours, afin d’éviter de faire souffrir l’articulation arthro- sique. Les séances proprement dites viseront à soulager les douleurs, lever les contractures, s’opposer à la fonte musculaire et conserver l’amplitude des mouvements de l’articulation. Enfin, et c’est essentiel, elles corrigeront les mauvaises postures qui sont souvent à l’origine de l’arthrose. Il sera ensuite conseillé de continuer chez soi les exercices indiqués pour prolonger les bienfaits des séances.
Quels sont les traitements officiels de l’arthrose

On commence par traiter la crise douloureuse avec des antalgiques (antidouleur de type paracétamol) associés à des antiinflammatoires non stéroidiens (AINS) comme le Voltarène, le Nifluril ou le Ketum. Mais le problème des AINS est qu’ils sont irritants pour les muqueuses digestives (risque d’ulcère d’estomac et de colite). La cortisone ne sera réservée qu’aux cas importants et sur de courtes périodes. Mais on peut aussi l’utiliser en injections intra-articulaires directes (infiltration). Ces dernières seront effectuées obligatoirement par un médecin. Elles apporteront un soulagement des douleurs pouvant durer plusieurs mois. Mais elles ne traitent pas la cause et peuvent aussi être dégénératives pour l’articulation. Il est mieux de leurs préférer des injections intra-articulaires d’acide hyaluronique (Hyalgan) qui lubrifieront l’articulation et qui n’ont que très peu d’effets indésirables.

Le médecin peut prescrire une arthroscopie
Les traitements naturels

Pour ma part, il me semble préférable de commencer par des plantes comme l’Harpagophytum (jusqu’à 2 grammes par jour) qui a montré à cette dose une efficacité comparable aux AINS sans en avoir les inconvénients.

Le Cassis (Ribes Nigrum) est aussi intéressant. On l’utilise en TM : 100 gouttes une à deux fois par jour, ou bien en bourgeons (Macérat concentré de bourgeons : 20 gouttes par jour). On pourra y associer éventuellement des pommades de Kétum ou de Voltarène très efficaces et nettement moins nocives pour le tube digestif que la forme orale. Il faudra par contre, être prudent à la photosensibilisation avec ces pommades et ne pas s’exposer au soleil après les avoir appliquées.

Ensuite, il sera impératif de stimuler les cartilages afin de leurs rendre leur souplesse ainsi que leur caractère lisse. Par contre, aucun traitement ne pourra leurs redonner leur épaisseur perdue.

Les traitements conventionnels sont à base de chondroitine sulfate (Chondrosulf, Structum) ou de diacéréine (Art 50, Zondar). A signaler que ces derniers (diacéréine) on souvent une mauvaise tolérance digestive, principalement intestinale. Les traitements naturels pour stimuler les cartilages sont essentiellement basés sur la glucosamine et aussi la chondroïtine qui sont des constituants de base du cartilage. Les cartilages de requin ou de raie seraient excellents pour cela.

Mais personnellement, j’ai toujours obtenu d’excellents résultats avec le Chondrosulf 400 à raison de 3 gélules par jour pendant plusieurs mois. Il est bien toléré et très efficace.

Cependant tous ces traitements ne seront guère suffisants, si la personne ne modère pas ses activités physiques, si elle n’évite pas le port de charges lourdes, si elle ne perd pas son surpoids et si elle ne se repose pas un minimum de temps afin de permettre à ses articulations de se régénérer…

Egalement une étude de la statique (positionnement) de l’ensemble du squelette devra impérativement être effectuée. Il pourra remédier à certaines anomalies à l’aide de quelques séances ostéopathiques, suivies si besoin de séances de kinésithérapie voir de port de semelles orthopédiques ou de talonnette. Ces mesures permettront de soulager la pression sur l’articulation en souffrance, la reportant sur une surface plus grande ou sur plusieurs articulations. Ce point est absolument fondamental. Il sera souhaitable également, une fois la période aigue passée, de faire de la gymnastique ou du yoga dans le but d’assouplir les articulations.
Le traitement de fond : éliminer les toxines

Comme nous l’avons vu dans les causes, les toxines sont souvent responsables de la formation de l’arthrose.

Aussi, une alimentation biologique riche en fruits et légumes (antioxydants), en poissons et huile d’olive (oméga 6 et 3) et légumineuses, céréales complètes, ail, viandes blanches et thé est souhaitable.

Les antioxydants sont intéressants pour lutter contre les radicaux libres qui agressent le cartilage. Les oméga 6 et 3 sont aussi très importants parce qu’ils sont sources de prostaglandines qui vont agir sur l’inflammation et la régénération des tissus lésés.

Parallèlement à cette alimentation de type méditerranéenne, il faudra prendre des probiotiques et de l’argile verte (un verre au coucher) afin de reconstituer la muqueuse et la flore intestinale.

Un remède incontournable dans l’arthrose est le Silicium Organique G5 qui sera utilisé par voie orale à raison de 1 cuillère à soupe avant les 3 repas et/ou en gel à appliquer deux fois par jour directement sur l’articulation douloureuse. Le silicium permet de régénérer les tissus et il temporise l’action délétère de l’interleukine 1. Ce remède est capable de faire des miracles dans une arthrose.

Les oligoéléments seront d’une aide précieuse autant en traitement curatif que préventif. Il faudra d’abord penser au cuivre qui a une action anti-inflammatoire mais aussi une action sur le cartilage (via la lysine oxydase une enzyme qui améliore le statut en élastine et collagène). Mais aussi nous pourrons compléter ce traitement avec l’or qui est un excellent anti-inflammatoire et qui serait même cortisol-like (action comparable à la cortisone), le soufre qui stimule également les cartilages et le zinc qui est antioxydant et qui favorise le renouvellement cellulaire. Ainsi, en cas de poussée aigue, il sera bien de prendre Granion or : 1 ampoule le matin et Granion cuivre 1 ampoule le soir. Et en traitement de fond, Granion cuivre, soufre et zinc, 1 ampoule le matin en alternant les trois produits.
D'autres nutriments sont-ils utiles ?

Il faut se rappeler que les cartilages comme les os sont dépendants des hormones sexuelles. C’est pourquoi des plantes riches en isoflavones comme le soja ou en lignanes comme les lentilles ou les céréales complètes apportent un statut hormonal minimum qui protégera en partie de la dégradation des articulations et de la décalcification.

Le calcium (amandes, noisettes, raisins secs, légumes secs, épinards…) et la vitamine D (huile de foie de morue), en reminéralisant les os, amélioreront aussi la situation articulaire.

Un manque de vitamines B aggrave souvent les douleurs articulaires. On les retrouve surtout dans la levure de bière.

Les radicaux libres sont des substances toxiques qui s’attaquent aux articulations. Les antioxydants neutralisent les radicaux libres. On en retrouve dans les fruits et les crudités. Le zinc, le sélénium et le silicium sont aussi d’excellents antioxydants.

Les oméga 3 et 6 sont sources de (bonnes) prostaglandines qui luttent contre l’inflam- mation et favorisent la régénération des tis- sus lésés. On les trouve dans les huiles d’olive, de noix et de colza ainsi que les huiles de poissons. Une supplémentation peut être utile pendant les deux ou trois pre- miers mois du traitement.
Pommades et cataplasmes


Localement, nous avons à notre disposition de nombreux produits très variés :

les pommades et gels d’AINS sont très efficaces sur la douleur et l’inflammation ;
le gel de Silicium organique G5 agit souvent en quelques minutes ;
les cataplasmes d’argile verte « aspireront » l’inflammation et relanceront la réparation de l’articulation ;
les cataplasmes d’alumine sont aussi remarquables : un cataplasme le soir au coucher à garder toute la nuit. Leur seul inconvénient est qu’ils contiennent de l’aluminium.

Huiles essentielles et homéopathie

Les huiles essentielles agissent également très efficacement sur les articulations. La gaulthérie, le lavandin, le basilic exotique et l’Eucalyptus citriodora peuvent être utilisées à raison de 2 gouttes pures, ou diluées dans un peu d’huile végétale, à appliquer directement sur l’articulation douloureuse.

Un pharmacien réalisera à la demande une préparation remarquable par ses effets récurrents :

HE Gaulthérie 3 ml
HE Laurier noble 3 ml
HE Sauge 2 ml
HE Gaïac 2 ml
HE Cèdre de l’Atlas 2 ml
HE Lavandin 2 ml
HE Picea mariana 2 ml
HV Calophylle 20 ml
EL Millepertuis 30 ml
Gel neutre qsp 100 ml

Faire 2 à 3 applications locales par jour pendant 10 à 15 jours.

L’homéopathie a également des remèdes capables d’agir sur la douleur et aussi sur le terrain arthrosique. Les traitements le plus souvent utilisés, sont :

Rhus tox. 4 CH : pour les douleurs amé- liorées par un dérouillage.
Bryonia 4 CH : pour les douleurs amélio- rées par le repos absolu.
Arnica 4 CH : pour les traumatismes, les hématomes, les coups.
Ruta grav. 4 CH : pour les articulations douloureuses, les entorses.

Posologie : 3 granules avant les trois repas. Espacer les prises dès amélioration.
La chirurgie ?

Un geste chirurgical simple consiste à faire un nettoyage de l’intérieur d’une articulation afin d’en enlever les débris de cartilage ou de ménisques (genou) qui s’y promènent tels des grains de sable aggravant encore sa détérioration. Enfin, dans les cas très évolués, lorsque le cartilage est totalement détruit, il ne sert à rien d’attendre et de souffrir. Aucun traitement ne sera plus efficace. Il faudra alors s’orienter vers une intervention chirurgicale qui consistera généralement en une pose de prothèse principalement au niveau des hanches et des genoux.

Ainsi il est possible aujourd’hui d’intervenir à tous les niveaux de l’arthrose depuis l’élimination de ses causes jusqu’à la stimulation des différents constituants articulaires. Et comme souvent, plus les mesures sont prises tôt, plus elles seront efficaces.
Les autres traitements naturels

L’acupuncture et l’auriculothérapie sont également des traitements très efficaces sur la douleur et l’arthrose. Il faudra aussi penser à la médecine énergétique qui rééquilibrera la circulation énergétique et repolarisera l’articulation douloureuse.
La micro-immunothérapie est aussi très efficiente dans les arthroses aigues, invalidantes ou généralisées. Elle agit en stimulant le système immunitaire et en bloquant l’effet déstructurante de l’IL1.
Les appareils laser (à condition qu’ils soient pénétrants) sont remarquables sur les articulations superficielles comme les genoux et les mains. Certains appareils à champ magnétiques pulsés ainsi que des appareils utilisant les courants électriques (galvaniques) ont aussi des résultats intéressants selon les cas.
Les cures thermales concourront également à retrouver une bonne santé articulaire.
Enfin, des appareils améliorant l’oxygénation comme le bol d’air Jacquier contribueront aussi à renforcer les cartilages.

La symbolique de l'arthrose

Il faudra analyser ici cette symbolique à deux niveaux : celle de l’arthrose et celle de l’articulation en cause.

L’arthrose est une rigidité de l’articulation qui se bloque progressivement. Le conflit en relation est une dévalorisation de la personne qui ne peut pas agir comme elle le voudrait. Par exemple, une personne qui voudrait développer une activité professionnelle et qui ne le peut pas, faute de moyens financiers ou de soutien. Aussi, symboliquement, une arthrose se manifeste pour exprimer cette entrave.

Ensuite, selon la localisation de l’arthrose, on comprendra mieux l’origine du blocage dans l’action. Par exemple :

La colonne vertébrale est le symbole du gouvernail de notre vie… et lorsque l’on ne sait plus très bien qu’elle orientation prendre dans sa vie, le gouvernail va de travers et des problèmes vertébraux apparaissent. Ensuite, chaque portion donnera aussi une spécificité supplémentaire comme les cervicales lorsque l’on est obligé de plier le cou et de faire amende honorable. Les lombaires seront plutôt l’assise, la base sur laquelle on s’appuiera dans sa vie.
La hanche signifie un conflit où l’on est obligé de céder contre son gré.
Le genou sera souvent lié au conflit du refus de céder, de plier, de se mettre à genou.
Le pied, ou la cheville, est un conflit de ne pas savoir sur quel pied danser !
L’épaule est un conflit de dévalorisation dans sa position sociale (droite) ou dans sa position de parent (gauche).
La main est souvent liée à un conflit de ne plus vouloir donner aux autres, d’en avoir assez d’être toujours celui qui donne.
Source alternative santé
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