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Ces 9 habitudes rendent plus heureux c’est scientifiquement prouvé

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Le bonheur serait-il une équation mathématique ? De nombreux chercheurs se sont penchés sur la questions, ces dernières années. Le site Popsugar les a répertoriées, voici les 9 habitudes à prendre pour cultiver son bonheur d’après la science.

Apprécier les petits moments de la vie : à chaque jour suffit... son bonheur. D’après les travaux menés par Martin Seligman, chercheur à l'université de Pennsylvanie, la psychologie positive est l'une des clés pour vivre heureux. Le bonheur n'est pas figé mais malléable. Il énumère ainsi quelques exercices journaliers qui développent les capacités naturelles au bonheur. Par exemple lister en fin de journée, les petites choses qui nous ont fait plaisir. Cela permet de voir le verre à moitié plein plutôt qu’à moitié vide.

S’entourer de personnes positives : selon le Dr. Nicholas Christakis chercheur en sciences sociales, l’un des secrets pour voir la vie sous un autre angle est de s’entourer de personnes positives. Une contagion sociale qui nous permet d’être tirés vers le haut grâce au bonheur communicatif.

Se créer de bonnes ondes : exprimer sa gratitude, être authentique ou avancer avec sincérité sont autant de valeurs qui contribuent à nous rendre heureux. Un simple sourire peut détendre une atmosphère et la rendre chaleureuse d’après l'analyse menée par une équipe de la Eastern Washington University, dédiée à la recherche sur les interactions et les comportements.

Se déconnecter : de plus en plus d’études prouvent que les réseaux sociaux peuvent être une source de frustration. Faire un break permet de puiser en soi pour se reconnecter à l’essentiel. Le Happiness Research Institute s'est penché sur un panel d'utilisateurs de Facebook afin de mesurer à quel point le réseau affectait la qualité de nos vies.

Donner de son temps : bon nombre de personnes malheureuses ont une mauvaise image d’elles-mêmes. Selon l’enquête rapportée sur le site Live Science, se consacrer à quelques heures de bénévolat serait l'une des solutions pour accéder au bonheur. Le don de soi permet de véhiculer du bonheur et d'en récolter.

Se ressourcer : des chercheurs de l'université de l'Utah et du Kansas ont envoyé 56 personnes en randonnées dans les parcs nationaux. Coupées du monde sans aucune technologie, elles devaient se promener en pleine conscience dans la nature. Le résultat est sans appel, la nature contribue au bonheur : elle diminue le stress, a une incidence sur la pression artérielle et augmente de 50 % les capacités créatives. Il serait surement temps de se mettre à la sylvothérapie.

Planifier des objectifs : on pense souvent que le bonheur est une chose qui nous tombe dessus. Pourtant on peut prendre les choses en main et s’autoriser à le cultiver. Cela peut commencer par planifier ses vacances, organiser son week-end et imaginer le bonheur procuré.

Avoir des animaux : le ronronnement d’un chat en boule sur nos genoux, la complicité canine ou l’hypnotique ballet d’un poisson dans son bocal... Ces petites bêtes contribuent à nous rendre heureux de retour à la maison. Les raisons ? Ils réduisent l'anxiété et nous éloignent de l'isolement social. La thérapie par les animaux est d'ailleurs plébiscitée dans certains cas. Par ailleurs, les caresser ou jouer avec eux délivre de la dopamine, l'hormone du bonheur.

Vieillir : des chercheurs californiens ont interrogés 1546 hommes et femmes de 21 ans à 100 ans. En comparant les réponses, ils en ont déduit le concept du "aging paradox" : plus on avance dans le temps, mieux on se sent dans sa peau et plus on apprécierait les petits instants simples de sa vie. Après des décennies bien remplie, on saurait comment cultiver facilement son bonheur. D’ailleurs, les grands-parents vivraient plus vieux entourés de leurs petits-enfants.

Enfin question bonus : l'argent fait-il le bonheur ? L'économiste et prix Nobel Angus Deaton s'est penché sur la question. Il découle de ses recherches que l'argent fait le bonheur mais jusqu'à un certain pallier : 75 000 $ de gains annuels pour être exact. Si le confort matériel est renforcé à partir de ce seuil, le bien-être émotionnel, lui, stagne...

« Il en faut peu pour être heureux », la mélodie du bonheur résonne déjà dans notre tête.

Source Elle
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