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Histoire de panards

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Cette histoire remonte à une époque où les achats, hors magasins, se faisaient sur catalogue, par correspondance, Soi que ta commande arrivait chez toi, Soi que tu te rendais en point relais pour la réceptionner, Ce jour là, comme il faisait beau et doux, j'avais décidé de marcher un peu pour m'y rendre, En ville, si tu portes de souliers ouverts, très vite, tes orteils se couvrent de poussières, Du coup, pieds et sandales étaient gris, Pas très glamour, Arrivée au point relais, je m'étais assise face au pupitre d'accueil que tenait un jeune homme, Dans l'angle haut, à sa gauche, un téléviseur diffusait le générique de l'ancêtre d'Hawaï 5-0, A deux sièges de ma gauche, une dame fredonnait, De temps à autres, le jeune homme semblait me regarder, ou plutôt mes pieds avec un air dégoûté, Puis son regard balayait la pièce et revenait à la cliente dont c'était le tour, Au bout de quelques minutes se rendant compte de ma maîtrise, il m'invita du regard à regarder sur ma gauche, Autant, je fus soulagée, autant je me serais bien passée de voir ça, La femme d'un grand âge, se décrottait les orteils de ses mains tout en fredonnant le générique, Depuis lorsque j'entends ce générique, repris pour Hawaï 5-0, je vois des orteils, Je vois ses orteils, 

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Tres mignonne ton histoire , comme quioi la propreté hein lol

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Ha oui ça ta marqué cette histoire d'orteils. 
Merci pour ton anecdote

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J'ai d'autres souvenirs de dames au comportement plus que discutable, 

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Peux tu nous raconter ?

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La dame du parking, 
Nous étions avec l'un de mes frères sur la dernière banquette du ford de mes parents,  Nous les attendions eux et ma soeur aînée, qui faisaient les courses du mois, La nuit était déjà tombée de deux bonnes heures et l'éclairage du parking rappelait des décors de romans de gare, 
Nous trouvions le temps long, quand une dame est arrivée, La soixantaine, de bonne corpulence  et plutôt grande, Elle portait un imper dans les tons beiges, des chaussures noires assorties à son sac, Des cheveux clairs et des lunettes standards, 
La ménagère classique que l'on croisait souvent à cette époque, 
Elle s'est arrêtée pile face au véhicule que nous occupions et s'est mise à remonter sur ses reins, ses imper, robe et combinaison, 
Puis a plongé, jusqu'au coude, son bras dans ses collants et culotte et s'est --- je ne peux dire autrement --- labouré avec frénésie la raie des fesses,  Quelques minutes et elle est partie,

--- Je me suis arrêtée un moment, Ce souvenir me fait encore rire aux larmes et du coup je vois trouble, Le temps de me reprendre ---

J'ai eu un mal fou à calmer mon frère, Difficile de ne pas rire aussi, quand nos éclats sont communicatifs,  Au retour de mes parents et ma soeur, nous étions incapables d'expliquer nos fous rires, 

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Je suppose qu'elle ne vous avez pas vu ??

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Le contraire serait glauque.

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Non, elle ne nous avait pas vu, Et c'est heureux, Mon frère souffre d'un disfonctionnement qui peut le plonger dans le coma à la moindre contrariété, 
La prochaine fois, je parlerai de la dame de l'abri-bus, 

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La dame de l'abri bus, 
Nous rentrions de démarches administratives, avec une amie, de quelques années, plus jeune, Il commençait à pleuvoir et nous décidions de hâter le pas, jusqu'au prochain arrêt, Celui où nous étions, n'ayant pas d'abri, 
Un bus était passé, mais nous ne l'avions pas héler, Il en passe fréquemment sur cette ligne, 
Trois personnes étaient là, nous devinions qu'elles avaient louper ce bus que nous avions vu, 
Il y avait un couple de quarantenaires et cette dame, Aux alentours de soixante-dix ans, semblable en apparence à la dame du parking, mais plus petite et plus mince, 
Alors que le couple se tenait sur le rebord du trottoir, libérant le coin de l'abri bus, la dame a relevé imper, robe et jupon, a baissé collant et culotte et s'est accroupi, 
A peine elle s'est rhabillée, recouvrant ses urines et selles d'un mouchoir, que mon amie ma aggrippé le bras poussant des "Regarde!!! la coch....!!!" et autres exclamations de son cru, 
Je ne suis pas arrivé à la calmer,  Avec bien du mal, je l'ai emmené au prochain arrêt, La pluie continuait, mais dans  son état, elle n'y prêtait pas attention, Pourtant, nous avions été vite trempé, Tout le long du retour, elle n'a pas lâché mon bras, Si bien qu'arrivé une heure plus tard et le temps qu'elle se calme, mon bras était violacé, 
Cela a mi des jours pour qu'il reprenne sa teinte normale, 
Je me souviens que cette dame avait conservé tout ce temps une allure digne, Comme s'il était normal de déféquer dans la rue, 

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il se peut qu'elle n'avait vraiment pas le choix
soit elle se faisait dessus soit elle s'humiliait immédiatement en public.
est ce que l'imperméable cachait son postérieur ou tout était visible ?

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Je me souviens que je la voyais de côté et ses vêtements étaient relevés haut sur son dos, Je pense qu'elle n'avait plus toute sa tête, 
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